La communauté de communes Vallée de Chamonix Mont-Blanc est la plus haute de France – elle s’étage entre 758 et 4809 mètres d’altitude. Dans un site montagneux exceptionnel, Vallée de Chamonix Mont-Blanc est une destination touristique internationale, et enregistre plus de 8 millions de nuitées par an, ainsi que 4,3 millions d'excursionnistes. Ce territoire desservi par l’autoroute et par le train est particulièrement sensible au réchauffement climatique : la température moyenne a augmenté de 2 degrés depuis 1930, ce qui affecte profondément les paysages.

La communauté de communes mène trois actions phares. La première est la production d’énergies renouvelables, essentiellement hydroélectrique (3 nouvelles installations, dont une mise en service en novembre 2019), bois-énergie (chaufferie de Vallorcine), photovoltaïque (600m² sur les tennis couverts), géothermie (crèche et logements), 100% d'énergie renouvelable pour le contrat électricité de la collectivité, projet d'usine de méthanisation. La deuxième concerne la mobilité : 20 bornes de recharge, navettes électriques, bus hybrides ou au GNV libre circulation sur le réseau bus et train… La collectivité investit dans les infrastructures cyclables (18 km de pistes supplémentaires d’ici à 2025) et les véhicules de service électriques. Enfin elle construit des bâtiments économes en énergie, rénove ses équipements en ce sens et soutient l’éco-rénovation de l’habitat privé.

Un territoire ciblant les énergies renouvelables, la mobilité électrique et les bâtiments énergétiquement performants

La communauté de communes mène trois actions phares dans le cadre de sa démarche TEPOS-CV.

  • La première est la production d’énergies renouvelables, essentiellement hydroélectrique (3 nouvelles installations en projet) et bois-énergie (nouvelle chaufferie de Vallorcine), mais aussi photovoltaïque ; la collectivité s’est engagée à travers un contrat de fourniture d’électricité 100 % renouvelable.
  • La deuxième concerne le développement des mobilités électriques : 20 bornes de recharge, navettes électriques, libre circulation sur le réseau bus et train… La collectivité investit dans les infrastructures cyclables (18 km de pistes supplémentaires d’ici à 2050) et les véhicules de service moins polluants.
  • Enfin elle construit des bâtiments économes en énergie, rénove ses équipements en ce sens et soutient l’éco-rénovation de l’habitat.